AccueilCinémaVittorio De Sica: biographie du réalisateur et acteur italien

Vittorio De Sica: biographie du réalisateur et acteur italien

Le cinema est ce lieu ou les plus grands restent pour toujours. Le souvenir de ce qu’ils ont fait et produit ne sera jamais efface et resonnera pour toujours et a jamais. Des gens comme Federico Fellini, Sergio Leone, Bernardo Bertolucci et Vittorio De Sica ont definitivement donne du prestige et du prestige au cinema italien.

De Sica, en particulier, s’est impose comme l’un des realisateurs et acteurs italiens les plus impressionnants au niveau international. Authentique precurseur d’un style cinematographique encore apprecie aujourd’hui par la critique et l’opinion publique.

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  • Les débuts de Vittorio De Sica
  • Le succès de Vittorio De Sica
  • Du néoréalisme à la comédie
  • Les dernieres etapes de sa carriere et sa mort en 1974
  • Film de Vittorio De Sica

Les débuts de Vittorio De Sica

Vittorio De Sica est ne a Sora le 7 juillet 1901 . Il grandit dans une famille modeste, mais cela ne l’empeche pas d’entrer dans le monde du theatre. Cependant, il finit par travailler dans une banque apres avoir termine ses etudes de comptabilite.

Au theatre, il fait ses debuts a l’age de 16 ans. Acteur, realisateur et scenariste italien de renommee mondiale, il est considere comme le cineaste le plus admire de l’histoire du cinema italien.

Le soi-disant Neorealisme au tournant des annees 40 et 50 est ne de son inspiration et de son inventivite scenographique marquee. Un mouvement culturel qui produit des films historiques tels que « Sciuscia », « Bicycle Thieves » et « Hier, aujourd’hui et demain », pour n’en nommer que quelques-uns.

Quelques annees plus tot, en 1932 pour etre precis, il se fait connaitre dans le monde du cinema en jouant un role dans le film « Des hommes… quels coquins ».

Grace a cette interpretation, il a immediatement obtenu visibilite et appreciation de plusieurs cotes lors de la Mostra de Venise.

En partenariat avec Umberto Melnati, il forme un couple en or qui egaie le public avec des gags et des slogans qui ont fait reference ces annees-la. Le refrain toujours vert de “Lodovico, tu es doux comme une figue” devient culte en ce sens.

Toujours dans les annees 1930, il rencontre l’actrice Giuditta Rissone , qui deviendra sa femme , ainsi que partenaire de la compagnie de theatre qu’ils ont fondee. En tant que realisateur, les debuts de De Sica ont eu lieu en 1940 a travers “Scarlet Roses”, egalement joue en tant que protagoniste.

Il met en place une collaboration remarquee avec un autre grand scenariste italien, Cesare Zavattini. Ensemble, ils produisent le film “Les enfants nous regardent”, date de 1940.

Le succès de Vittorio De Sica

Ce n’est qu’avec la fin de la Seconde Guerre mondiale que la naissance du vrai mythe s’est configuree a travers l’introduction du soi-disant neorealisme . Les films qui symbolisent ce courant de pensee cinematographique, deja evoques plus haut, sont « Sciuscia » de 1948 et « Bicycle Thieves » de la meme annee, ou il decroche le soi-disant ruban d’argent. Tous deux lui garantissent l’Oscar qui valait comme recompense du meilleur film etranger, encore inexistant a l’epoque. Tout cela malgre les ressentiments d’une partie de la population italienne qui estimaient que ces representations ne correspondaient pas a la situation reelle vecue par l’Italie a cette epoque. 

Avec « Miracle a Milan », se rend également au Festival de Cannes, ou il remporte la Palme d’Or. “Umberto D” représente l’âge d’or d’une carrière en réalisant une grande partie du cinéma. C’est qu’en plus de la dédicace voilée au père, la réalité y était représentée dans toute sa nudité, dans un réalisme qui faisait presque impression et auquel, probablement, le cinéma de l’époque n’avait pas du tout l’habitude de recevoir si clairement et definie.

Du néoréalisme à la comédie

Les annees 1950 ont change la perspective scenique et de contenu de Vittorio De Sica . ” L’or de Naples “, qui comptait dans ses rangs des presences historiques telles que Toto, Eduardo De Filippo et Sophia Loren , represente le changement de rythme typique. En ce sens, le passage d’une direction basee sur le neorealisme a un cadre scenographique plus oriente vers le folklorisme et la legerete, typique de cette periode, en plein boom economique italien, est realise. 

Perspective rendue possible par les origines napolitaines lointaines mais vivantes du realisateur. Amoureux de la chanson et de la culture napolitaine , fervent et fier supporter de la ville de Naples que lui, venant de l’exterieur, pourrait aimer plus qu’un pur-sang napolitain. Ses paroles. Le repertoire napolitain etait dans ses cordes.

Donc, en fait, il y a moins de realisme et plus de comedie. Aux cotes de Toto, il joue dans le film « Les deux marechaux », 1961. L’annee precedente il consacre la figure de Sophia Loren, grande actrice italienne, dans le celebre film « La ciociara ». Film qui lui vaudra l’Oscar de la meilleure actrice et la Palme d’or au Festival de Cannes.

Les 2 autres Oscars de la carriere de De Sica viennent , au contraire, pour les interpretations de “Hier, aujourd’hui et demain” en 1963 comme meilleur film etranger et “Le jardin des Finzi Contini” en 1970. Ce dernier est une vision emblematique de la condition de precarite et de tragique vecue par une famille juive pendant le fascisme, raison pour laquelle il a recu l’Ours d’or au Festival du film de Berlin en 1971.

Dans « Matrimonio all’italiana », il collabore avec une institution cinematographique comme Marcello Mastroianni, nomine pour l’Oscar du meilleur film en langue etrangere.

En tant qu’acteur, Vittorio De Sica a produit 150 films . La relation profonde qu’il entretenait avec Alberto Sordi ne doit pas etre sous-estimee . Une relation nait entre eux sur le plateau qui s’exprime parfaitement dans des films tels que “Il conte max”, “Il moralista”, “Il policier” et “Un Italien en Amerique”, une vraie perle de ce point de vue.

Les dernieres etapes de sa carriere et sa mort en 1974

Dans sa carriere, Vittorio De Sica se retrouve a jouer des roles loin de la particularite scenique originelle a laquelle le public s’etait habitue. Egalement en vedette dans une horreur de 1974 intitulee “Dracula cherche du sang vierge et est mort de soif” de Paul Morrissey.

Les dernieres interpretations concernent le film « Nous nous sommes tant aimes », chef-d’ouvre d’Ettore Scola de 1974, « Autour » et « Le heros », realise par Manuel De Sica.

Sa passion pour le jeu est bien connue , a tel point que plusieurs personnages qu’il a incarnes se sont inspires de sa vie privee. Des exemples parfaits dans « Il conte Max », « Un Italien en Amerique » et « L’oro di Napoli ».

Egalement tres actif a la tele. Il participe principalement a des emissions de divertissement typiques des annees 1960, comme « Sabato sera » de Corrado, « Canzonissima » avec Raffaella Carra et « Il musichiere ».

Il meurt en 1974 a l’age de 73 ans dans une ville reculee de France (Neuilly-sur-Seine) apres avoir ete opere d’un cancer du poumon . Sa memoire reste plus que vivante dans l’Olympe du grand cinema italien.

Le fils le plus celebre, Christian De Sica, a suivi ses traces en tant qu’acteur et realisateur, mais en s’adressant a une cible resolument differente et en mettant en place un cinema realiste et, par certains cotes, scandaleux, mais encore plus comique dans son nu et dramatique.

A nos yeux restera a jamais la scene mythique entre Vittorio et Sophia Loren de « Pane, amore e… » que nous vous proposons ici encore.

Film de Vittorio De Sica

Ci-dessous et par ordre chronologique, les films auxquels Vittorio De Sica a participe, en tant qu’acteur et realisateur.

Acteur de cinema

  1. Le Proces Clemenceau, realise par Alfredo De Antoni (1917)
  2. La beaute du monde, de Mario Almirante (1927)
  3. La Compagnie des fous, de Mario Almirante (1928)
  4. Deux coeurs heureux, de Baldassarre Negroni (1932)
  5. Des hommes, quels coquins…, de Mario Camerini (1932)
  6. Le secretaire pour tout le monde, d’Amleto Palermi (1932)
  7. La vieille dame, de Hamlet Palermi (1932)
  8. Le Seigneur souhaite ?, de Gennaro Righelli (1933)
  9. Un mauvais sujet, réalisé par Carlo Ludovico Bragaglia (1933)
  10. Le chant du soleil, realise par Max Neufeld (interprete egalement l’edition allemande, Das Lied der Sonne) (1933)
  11. Paprika, le Carl Boese (1933)
  12. Lisette, de Carl Boese (1933)
  13. Meilleur temps, Mario Mattoli (1934)
  14. Je t’aime seul, de Mario Mattoli (1935)
  15. Daro un million, de Mario Camerini (1935)
  16. Je ne te connais plus, de Nunzio Malasomma (1936)
  17. Lohengrin, par Nunzio Malasomma (1936)
  18. Mais ce n’est pas serieux, de Mario Camerini (1936)
  19. L’homme qui sourit, de Mario Mattoli (1936)
  20. Ces garcons, de Mario Mattoli (1937)
  21. Monsieur Max, de Mario Camerini (1937)
  22. Naples du passe, réalisé par Amleto Palermi (1937)
  23. Papa’s Mazurka, d’Oreste Biancoli (1938)
  24. Ils ont kidnappe un homme, de Gennaro Righelli (1938)
  25. Départ, d’Amleto Palermi (1938)
  26. Les Deux Meres, d’Amleto Palermi (1938)
  27. L’horloge a coucou, de Camillo Mastrocinque (1938)
  28. A vos ordres, madame…, realise par Mario Mattoli (1939)
  29. Castelli in aria, realise par Augusto Genina (joue egalement l’edition allemande, Ins blaue Leben) (1939)
  30. Les grands magasins, de Mario Camerini (1939)
  31. Ca finit toujours comme ca, d’Enrique Susini (1939)
  32. Manon Lescaut, de Carmine Gallone (1940)
  33. Fou de joie, de Carlo Ludovico Bragaglia (1940)
  34. Scarlet Roses, réalisé par Giuseppe Amato et Vittorio De Sica (1940)
  35. Le Pêcheur, d’Amleto Palermi (1940)
  36. Maddalena … zero en conduite, realise par Vittorio De Sica (1940)
  37. L’aventurier de l’etage superieur, realise par Raffaello Matarazzo (1941)
  38. Teresa Venerdi, réalisé par Vittorio De Sica (1941)
  39. Un Garibaldien au Couvent, realise par Vittorio De Sica (1942)
  40. Le garde du corps, realise par Carlo Ludovico Bragaglia (1942)
  41. Si j’étais honnête, de Carlo Ludovico Bragaglia (1942)
  42. Aux revers, de Vittorio Cottafavi (1943)
  43. Je ne suis pas superstitieux … mais !, realise par Carlo Ludovico Bragaglia (1943)
  44. Personne ne recule, d’Alessandro Blasetti (1943)
  45. L’hippocampe, créé par Gian Paolo Rosmino (1945)
  46. L’erreur de vivre, de Carlo Ludovico Bragaglia (1945)
  47. Le monde le veut comme ca, realise par Giorgio Bianchi (1945)
  48. A bas la richesse !, de Gennaro Righelli (1946)
  49. Rome ville libre, construite par Marcello Pagliero (1946)
  50. Perdu dans le noir, de Camillo Mastrocinque (1947)
  51. Noël au Campo 119, construit par Pietro Francisci (1947)
  52. L’Etranger de Saint-Marin, realise par Michal Waszynski et Vittorio Cottafavi (1947)
  53. Coeur, réalisé par Duilio Coletti et Vittorio De Sica (1948)
  54. Demain est trop tard, de Leonide Moguy (1950)
  55. Serveuse belle presence…, realise par Giorgio Pastina (1951)
  56. Bonjour, éléphant!, Créé par Gianni Franciolini (egalement production) (1952)
  57. Le proces de Phryne, episode d’Autres temps – Zibaldone n. 1, realise par Alessandro Blasetti (1952)
  58. Les bijoux de madame de…, de Max Ophuls (1953)
  59. Pain, amour et fantaisie, realise par Luigi Comencini (1953)
  60. Accident à la Villa Borghese, épisode de la Villa Borghese, réalisé par Gianni Franciolini (1953)
  61. L’orso, episode de Le Mariage, realise par Antonio Petrucci (1954)
  62. Scène extérieure et Don Corradino, épisodes de Tempi nostra – Zibaldone n. 2, réalisé par Alessandro Blasetti (1954)
  63. Pendolin, episode de Cent ans d’amour, realise par Lionello De Felice (1954)
  64. Il fine dictore, épisode de Gran Varieta, réalisé par Domenico Paolella (1954)
  65. Escadron Allegro, de Paolo Moffa (1954)
  66. Vierge moderne, de Marcello Pagliero (1954)
  67. Les Joueurs, episode de L’oro di Napoli, realise par Vittorio De Sica (1954)
  68. Pain, amour et jalousie, de Luigi Comencini (1954)
  69. Dommage que ce soit un voyou, realise par Alessandro Blasetti (1954)
  70. Divorce, episode de The Bed, realise par Gianni Franciolini (1954)
  71. Le signe de Venus, de Dino Risi (1955)
  72. Les cinq dernieres minutes, de Giuseppe Amato (1955)
  73. Le beau meunier, de Mario Camerini (1955)
  74. Roman Tales, réalisé par Gianni Franciolini (1955)
  75. Pain, amour et …, realise par Dino Risi (1955)
  76. Le bigamo, de Luciano Emmer (1955)
  77. Les plus beaux jours, de Mario Mattoli (1956)
  78. Mon fils Nero, realise par Steno (1956)
  79. Vacation Time, réalisé par Antonio Racioppi (1956)
  80. Montecarlo, réalisé par Sam Taylor et Giulio Macchi (1956)
  81. Nous sommes les colonnes, realise par Luigi Filippo D’Amico (1956)
  82. Peres et fils, de Mario Monicelli (1957)
  83. Le Coupable, de Turi Vasile (1957)
  84. Souvenir d’Italie, realise par Antonio Pietrangeli (1957)
  85. Amour et conversation, realise par Alessandro Blasetti (1957)
  86. Le Comte Max, réalisé par Giorgio Bianchi (1957)
  87. La femme qui venait de la mer, realise par Francesco De Robertis (1957)
  88. Vacances à Ischia, réalisé par Mario Camerini (1957)
  89. Le Docteur et le Sorcier, de Mario Monicelli (1957)
  90. Toto, Vittorio et le docteur, de Camillo Mastrocinque (1957)
  91. L’Adieu aux armes, de Charles Vidor (1957)
  92. Casino de Paris, d’André Hunebelle (1958)
  93. Dimanche et toujours dimanche, de Camillo Mastrocinque (1958)
  94. Anna de Brooklyn, realise par Vittorio De Sica et Carlo Lasttricati (1958)
  95. Ballerine et Bon Dieu, d’Antonio Leonviola (1958)
  96. Piece, contremaitre et capitaine, de Wolfgang Staudte (1958)
  97. Gli zitelloni, réalisé par Giorgio Bianchi (1958)
  98. La fille de la place Saint-Pierre, de Piero Costa (1958)
  99. Pain, amour et Andalousie, de Javier Seto (1958)
  100. La première nuit, d’Alberto Cavalcanti (1959)
  101. Dans le bleu peint en bleu, de Piero Tellini (1959)
  102. Hommes et nobles, realise par Giorgio Bianchi (1959)
  103. Policarpo, scénariste, réalisé par Mario Soldati (1959)
  104. L’ennemi de ma femme, de Gianni Puccini (1959)
  105. Vacances d’hiver, de Camillo Mastrocinque (1959)
  106. Le monde des miracles, realise par Luigi Capuano (1959)
  107. Le moraliste, de Giorgio Bianchi (1959)
  108. Général Della Rovere, créé par Roberto Rossellini (1959)
  109. Ferdinando I ° roi de Naples, réalisé par Gianni Franciolini (1959)
  110. Gastone, realise par Mario Bonnard (1960)
  111. La belle mariee, de Nunnally Johnson et Mario Russo (1960)
  112. Les Trois “etcetera” du Colonel, realise par Claude Boissol (1960)
  113. Les pilules d’Hercule, de Luciano Salce (1960)
  114. La bataille d’Austerlitz, d’Abel Gance (1960)
  115. Le Vigilant, de Luigi Zampa (1960)
  116. Un amour a Rome, de Dino Risi (1960)
  117. La Baie de Naples, de Melville Shavelson (1960)
  118. La millionnaire, d’Anthony Asquith (1960)
  119. Les non censurés, de Francesco Giaculli (1961)
  120. La Société Honorée, créée par Riccardo Pazzaglia (1961)
  121. Les merveilles d’Aladin, realise par Mario Bava et Henry Levin (1961)
  122. Les celebres amours d’Henri IV, de Claude Autant-Lara (1961)
  123. Le Jugement dernier, realise par Vittorio De Sica (1961)
  124. Les Attendants, de Giorgio Bianchi (1961)
  125. Je dois marshalli, de Sergio Corbucci (1961)
  126. La Fayette – Une epee pour deux drapeaux, realise par Jean Dreville (1962)
  127. Eva, réalisé par Joseph Losey et Guidarino Guidi (1962)
  128. Les aventures et les amours de Moll Flanders, realise par Terence Young (1965)
  129. Moi, moi, moi… et les autres, realise par Alessandro Blasetti (1966)
  130. Chasse au renard, de Vittorio De Sica (1966)
  131. Les Autres, les Autres… et Nous, realise par Maurizio Arena (1967)
  132. Un Italien en Amérique, d’Alberto Sordi (1967)
  133. Colpo grosso alla napoletana, de Ken Annakin (1968)
  134. Caroline cherie, de Denys de La Patelliere (1968)
  135. L’Homme qui venait du Kremlin, de Michael Anderson (1968)
  136. Si mardi doit etre la Belgique, realise par Mel Stuart (1969)
  137. Una su 13, réalisé par Nicholas Gessner et Luciano Lucignani (1969)
  138. Les choix de Cosa Nostra, de Steno (1971)
  139. Je ne vois pas, tu ne parles pas, il n’entend pas, realise par Mario Camerini (1971)
  140. Trastevere, construit par Fausto Tozzi (1971)
  141. Nous sommes tous en liberte temporaire, realise par Manlio Scarpelli (1971)
  142. Ettore lo fusto, réalisé par Enzo G. Castellari (1972)
  143. Les Aventures de Pinocchio, mini-série télévisée, réalisée par Luigi Comencini (1972)
  144. Grand Slalom pour un vol qualifie, realise par George Englund (1972)
  145. Histoire des freres et de cortelli, realise par Mario Amendola (1973)
  146. L’Odeur des betes de Richard Balducci (1973)
  147. Le crime de Matteotti, créé par Florestano Vancini (1973)
  148. Voyage, fille, voyage, tu as de la musique dans les veines, realise par Pasquale Squitieri (1974)
  149. Les Petits Miracles, telefilm, de Jeannot Szwarc (1974)
  150. Dracula cherche du sang vierge… et meurt de soif !!!, realise par Paul Morrissey et Antonio Margheriti (1974)
  151. On s’aimait tellement, d’Ettore Scola (1974)
  152. Autour, court metrage, realise par Manuel De Sica (1974)
  153. Le Heros, téléfilm, de Manuel De Sica (1974)

Réalisateur

  1. Scarlet Roses (co-realise par Giuseppe Amato, egalement acteur) (1939)
  2. Madeleine … zero en conduite (egalement scenario et acteur) (1940)
  3. Teresa Venerdi (egalement scenario et acteur) (1941)
  4. A Garibaldino al couvent (egalement scenario et acteur) (1942)
  5. Children Watch Us (scénario également) (1943)
  6. La porte du paradis (egalement scenario) (1944)
  7. Sciuscia (1946)
  8. Cuore , (co-réalisé par Duilio Coletti, également production, scénario et acteur) (1948)
  9. Bicycle Thieves (egalement production et scenario) (1948)
  10. Miracle a Milan (egalement production et scenario) (1951)
  11. Umberto D. (egalement production) (1952)
  12. Gare Termini (egalement en production) (1953)
  13. L’oro di Napoli (egalement scenario et acteur) (1954)
  14. Le toit (egalement de production) (1956)
  15. Anna di Brooklyn (co-realise par Carlo Lasttricati, egalement acteur) (1958)
  16. La Ciociara (1960)
  17. Le Jugement dernier (egalement acteur) (1961)
  18. Boccace ’70, episode La riffa (1962)
  19. L’enlevement d’Altona (1962)
  20. Le boum (1963)
  21. Hier, aujourd’hui, demain (1963)
  22. Mariage italien (1964)
  23. Un nouveau monde (1966)
  24. Chasse au renard (1966)
  25. Les Sorcieres, episode Un soir comme un autre (1967)
  26. Sept fois une femme (1967)
  27. Lovers (scénario également) (1968)
  28. Tournesols (1970)
  29. Le jardin des Finzi Contini (1970)
  30. Les couples, episode Le Lion (egalement sujet et scenario) (1970)
  31. Nous l’appellerons Andrea (1972)
  32. De courtes vacances (1973)
  33. Le voyage (1974)
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