Top 10 des types de phobies liées à l’intimité

La phobie psychique a de multiples images, dont certaines sont si étranges qu’il est difficile de croire que quelqu’un souffre. Une maladie qui peut être causée comme une peur constante de certaines situations ou activités lorsqu’elles se produisent ou même lorsqu’on y pense.

Cette peur fait vivre à la personne infectée une vie pénible, malsaine et toujours anxieuse. Les personnes atteintes de phobie savent que leurs peurs sont illogiques, mais elles ne peuvent pas s’en débarrasser. Certains cas peuvent coexister en évitant les stimuli, certains peuvent être éliminés par un traitement psychologique.

Les phobies ne se limitent pas à des préoccupations ordinaires, telles que l’acrophobie (peur de la taille), l’ophidiophobie (peur des serpents), ou des préoccupations inappropriées telles que la pupaphobie (peur des marionnettes), la spectrophobie ou la catoptrophobie (peur des miroirs), etc., mais elles souffrent de la vie sexuelle, et il existe plusieurs types de phobies liées au sexe. Découvrons-en 10

1. Medomalacuphobie – Peur de perdre une érection.

La médomalacuphobie est une phobie de la dysfonction érectile. Nous ne parlons pas des peurs de la majorité des hommes. On parle de phobie de tous les autres symptômes, comme la difficulté à respirer, la transpiration excessive, les nausées, la bouche sèche, les battements cardiaques rapides et même la perte de la parole. Dans certains cas extrêmes, une personne a peur de la mort en cas d’érection et peut être séparée de la réalité pendant un certain temps avec le noyau de la panique.

2. Gymnophobie – Peur de la nudité.

C’est la phobie de la nudité, et ceux qui en favorisent sont troublés par la peur de la nudité, qu’elle les concerne ou qu’elle concerne les autres. Ils ne peuvent pas se déshabiller devant les autres et ne peuvent pas voir les autres nus. Une telle phobie n’a rien à voir avec la haine de la nudité, qui est liée aux justifications rationnelles et morales. C’est irrationnel ou logique. Les raisons sont différentes. Ils peuvent provenir de l’infériorité du corps ou parce que la nudité les fait se sentir exposés et sans protection. La vue d’un vrai corps nu est insupportable, que ce soit de vrais corps nus ou dans les magazines, à la télévision ou au cinéma. C’est une phobie qui touche autant les hommes que les femmes.

La gymnophobie provoque le dégoût du corps humain. Les gymnophobes préfèrent souvent la compagnie des animaux à celle des humains. Ils ont souvent l’impression que leur corps ne répond pas aux critères médiatiques. Ils sont trop gros, trop maigres, pas assez musclés ou difformes.

Les gymnophobes ont des difficultés avec la sexualité lorsqu’elle se produit en plein jour ou en plein jour. Ils ont besoin que l’acte sexuel ait lieu dans l’obscurité absolue.

3. Eurotophobie – Peur de la Génétalité Féminine.

L’eurotophobie est la peur des organes génitaux féminins. Les personnes infectées peuvent avoir peur des organes génitaux féminins tout le temps, ou dans certaines situations comme entrer dans des relations intimes. En fait, cette phobie est plus fréquente qu’il n’y apparaît à certains, souvent à cause d’expériences sexuelles qui ont eu un impact négatif important. Les symptômes associés à cette phobie sont une peur intense, un rythme cardiaque rapide, de la tension, des crises d’anxiété et un manque de clarté de la vision.

Les causes de l’eurotohopbie sont souvent liées à des situations traumatisantes vécues dans l’enfance et souvent à une exposition désagréable à la vue des organes génitaux de l’adulte. Ce sont des moments où l’enfant a ressenti une telle frayeur que la vue d’un pénis ou d’une vulve devient impossible à l’âge adulte. L’enfant peut avoir été victime d’un exhibitionniste, mais il peut aussi avoir surpris ses parents nus ou en train de faire l’amour sans qu’il y ait chez l’adulte une attitude nécessairement perverse.

4. Erotophobie – Peur du sexe.

L’érotophobie est une phobie qui implique une variété de peurs et est donc l’espèce la plus complexe, y compris la phobie de parler de sexe. Dans ce cas, la personne ne souffre pas de sexophobie. Il ne veut pas parler de lui ni lire à ce sujet. C’est la phobie sexuelle qui est la peur du même sexe et de ce qu’elle contient.

5. Philémaphobie – Peur de s’embrasser.

La philémaphobie ou philatrophobie, c’est la peur de s’embrasser, est fréquente chez les jeunes et les biseaux inexpérimentés qui ont peur de faire quelque chose de mal. Dans ces cas, la peur est généralement légère à réduite et se dissipe rapidement à mesure que la personne acquiert de l’expérience. Parfois, cependant, la philémaphobie est plus sévère et peut survenir à tout âge. Voici notre regard en profondeur sur les personnes qui ont peur de s’embrasser. Cette peur est particulièrement problématique car elle peut affecter sa capacité à nouer des relations amoureuses ou des interactions sociales.

6. Malaxophobie | Peur du jeu amoureux.

La phobie de l’intimité, c’est-à-dire la personne souffrant de graves crises d’angoisse et de tension, en cas de toucher ou de caresser, qui récupère la phobie des baisers échangés car les baisers ne touchent pas, d “Une manière ou d’une autre est la phobie des préliminaires qui précèdent l’intimité”.

Les personnes atteintes de philophobie persistante à rechercher le moindre défaut de leur conjoint. C’est un mécanisme de défense très courant chez ces personnes, qui utilise alors ces soi-disant défauts pour justifier leur volonté de ne pas aller plus loin.

Certaines personnes sont moquées par des personnes avec qui elles n’ont aucune chance, afin qu’elles n’aient pas à affronter leur peur de l’intimité. Ils ont essayé de se convaincre du fait qu’ils peuvent vraiment aimer, mais qu’ils n’ont pas fonctionné avec une personne, c’est parce que c’était un amour impossible.

D’autres provoquant des disputes pour amener l’autre personne à mettre fin à la relation. Souvent, ces conflits sont liés à la jalousie, car le fait que leur conjoint les quitte pour quelqu’un d’autre sert d’excuse pour ne pas s’engager.

7. Claustrophobie sexuelle | Peur du sexe à l’intérieur.

La claustrophobie se définit par une peur intense des espaces confinés, l’ascenseur étant le lieu le plus redouté, avec les transports en commun, et notamment le métro. Mais pour un claustrophobe, l’avion, ou le train, peut aussi être source d’inconfort. Dans certains cas, la peur s’étend aussi aux pièces isolées (cave ou grenier), à celles à faible hauteur sous plafond, et même parfois aux petites pièces (toilettes, dressings…), ou celles qui sont fermées à clé. “Une grande partie de l’anxiété claustrophobe est liée à la respiration”, explique le psychiatre Antoine Pelissolo. Dans les espaces confinés, la personne à la sensation d’étouffer, de manquer d’air, jusqu’à l’idée qu’elle pourrait vraiment, à un moment, ne plus pouvoir respirer. ”

Selon l’intensité de leur trouble, certains claustrophobes deviennent à affronter leur peur, au risque alors de connaître un ou plusieurs signes de panique et de montée d’adrénaline : cœur qui s’emballe, mains moites, tête qui tourne, respiration qui s ‘accélère, jambes qui tremblent… Mais la majorité des eux pratiquent plutôt l’évitement. Ils sont alors capables de tous les stratagèmes pour ne pas avoir à affronter les situations qui les angoissent.

8. Oneirogmophobie | Peur des rêves humides.

L’oneirogmophobie est une phobie des rêves sexuels qui produit à l’éjaculation est courante, et le dilemme est que les rêves sexuels sont une partie essentielle de la phase de maturation chez les hommes, et qu’ils ne peuvent pas être contrôlés, même après la maturité.

97 % des hommes ont admis avoir vécu des rêves sexuels dans leur vie, donc ceux qui risquent de cette phobie vivent une vie très difficile, dans certains cas extrêmes certains d’entre eux refusent de dormir par peur de rêves sexuels qui se livrent à la diffamation .

9. Méorthophobie

La médorthophobie est une phobie du pénis en érection. Il est vrai qu’il est raisonnable de supposer qu’elle ne touche que les femmes, mais la réalité est différente. Cela touche aussi les hommes. Certains hommes souffrant d’attaques de panique, d’anxiété, d’essoufflement et de nausées s’ils peuvent avoir une érection.

Cette phobie a des répercussions plus ou moins importantes sur la vie du patient. Il peut dans certains cas avoir développé une vie en évitant toute vue de pénis. Dans ce cas, on est dans une dynamique d’évitement maximal de la situation phobique qui ne fait que la renforcer. D’autres sujets tenteront « à leur manière » de vaincre cette peur en « forçant » plus ou moins. Il ne s’agit pas de faire une liste exhaustive de tous les scénarios de vie possibles mais bien d’autres “adaptations” à cette phobie existante. Cela se fait toujours au prix de souffrances importantes et d’une estime de soi souvent mise à mal.

La peur des pénis peut affecter les hommes et les femmes.

10. Parthénophobie | Peur des vierges ou des jeunes filles.

Si vous ne saviez pas qu’il y avait une telle chose, découvrez que c’est possible. La « parthénophobie » est la peur des vierges ou des jeunes filles, donc les hommes qui en doivent éviter les monastères ou les facultés de théologie.

Des étourdissements, des mains moites ou dans les cas plus graves des vomissements et des nausées sont les symptômes de cette phobie. Bien qu’elle soit consciente que cette peur des filles vierges est absurde, ces hommes ne peuvent pas contrôler leurs émotions et ne peuvent donc pas construire et entretenir une relation amoureuse.

La parthénophobie peut être traitée avec l’aide d’un psychothérapeute.